15 – Le Chili central

15 - Le Chili central

15 – Le Chili central

Nous avions déjà visité les provinces du Chili les plus au Sud, celles de ‘Magellan’ (Punta Arenas) et de ‘Ultima Esperanza’ (sic !… Puerto Natales. Cf. Blog 13), s’étendant du Détroit au Parc de Torrès del Payne, puis celle d’Aysen (la Carretera Australe de Chile Chico à Tupaleufu). Nous y sommes revenus beaucoup plus au nord, remontant le Chili depuis Osorno jusqu’à Santiago et Valparaiso, le cœur du Chili économique, où se concentrent les 2/3 de la population. Une grande autoroute, la ‘Transaméricaine’ remonte tout le pays dans d’excellentes conditions. Les grands centres de Temuco et Santiago nous permettaient en outre de faire réviser nos motos après les épreuves subies sur le ‘ripio’ argentin de la ruta 40 et avant d’aborder l’altiplano bolivien, où elles auront à travailler dur, à des altitudes moyennes de 3.800 m.

Le Chili est un pays très attachant, coincé entre l’Océan Pacifique et la chaîne des Andes, où se trouve son point culminant, l’Aconcagua (6.962 m). S’étendant sur quelques 4.300 km du nord au sud pour une largeur moyenne de 180 km, couvrant plus de 750.000 km², la variété de ses climats est exceptionnelle, des déserts du nord (l’Atacama y abrite le fameux observatoire ALMA, inauguré ce mois-ci) aux régions subarctiques, en passant par toute la gamme des climats que nous aurions chez nous entre la Norvége et le sud marocain : lors des 500 km que nous avons parcourus en une journée entre Las Trancas et Santiago, nous avons quitté une station de montagne pour descendre dans un climat ‘toulousain’ aux magnifiques champs de maïs, avant de rencontrer nos premiers cactus, puis des palmiers, puis des bananiers… Ses 16 millions d’habitants travaillent dur, et le niveau économique du pays est élevé : en ce qui nous concerne, nous avons apprécié qu’il n’y ait notamment pas de problème de monnaie (pas de ‘marché bleu’ sur le peso chilien !), ni de ravitaillement en essence ; la vie en revanche y est relativement chère, comme en Europe pour un niveau de confort équivalent, ce qui semble laisser une partie importante de la population aux limites de la misère. Le pays a été colonisé par les Espagnols dès le XVIème siècle, lors de leur poussée vers le Sud à la suite de la conquête de l’empire Inca ; mais les Espagnols n’ont réussi à dominer ce qu’on appelle l’Araucanie – c’est-à-dire le cœur du pays Mapuche – qu’à la suite de longues guerres pendant lesquelles ils ont souvent eu le dessous, et qui ne se sont terminées qu’à la fin du XIXème s. ; d’où un regard porté par les Chiliens sur les importantes communautés indiennes subsistantes aujourd’hui beaucoup plus positif que ce que nous avions pu percevoir en Argentine.

Nous ne sommes restés que deux jours à Santiago, et deux jours à Valparaiso, à peine le temps de nous faire une idée superficielle de ces grandes villes célèbres ; mais nous avons été séduits par leur rythme et leurs couleurs comme par leur activité économique. Valparaiso, surtout, nous a enchantés : ces empilements décomplexés de maisons de toutes les couleurs dominant la rade, l’ambiance festive ‘en bas, sur le plan’, l’animation du côté du port, les fruits de mer, la lumière… un regret seulement, d’ailleurs étonnant : ce port n’est pas du tout tourné vers la mer, sans marina ni croisette… il faut dire que la mer y est paraît-il glaciale !

Mais notre morceau de bravoure de ces 2.000 km de routes aura – encore une fois ! – été motocycliste, même si malheureusement aucun reportage photographique ne peut vous le raconter : le franchissement des Andes du Chili vers l’Argentine, par le célèbre col du Christ Rédempteur (tunnel à 3.600 m) au pied de l’Aconcagua aurait dû être particulièrement photogénique ; la météo était idéale, et le spectacle annoncé féérique. Il s’est transformé en un cauchemar pour les vieux que nous sommes, qui avons dû en effet parcourir 1.150 km en deux jours, dont 270 km – c’est-à-dire tous ceux de la haute montagne à proprement parler – dans la nuit noire la plus complète. Des travaux routiers du côté de la station de ski de Portillo obligeaient en effet à une circulation à sens unique ; et au lieu d’organiser une circulation alternée toutes les 15 ou 30 minutes, la route vers l’Argentine n’était ouverte que de… 21h30 à 7h00. Arrivés au pied du col vers 12h30, nous avons d’abord dû patienter pendant 9 heures dans une vague auberge, en nous préparant à une nuit difficile. Lorsque la nuit bien noire s’est installée, nous avons commencé par escalader une infinité de vertigineux (ah ! ce sentier lumineux de phares, là bas, tout en bas… !) lacets en travaux, tentant de nous accrocher aux motos ‘sportives’ qui nous accompagnaient sans nous faire rattraper par la meute des voitures qui nous suivaient. Las ! En redescendant vers l’Argentine, nous avons manqué le poste de douane – qui n’était pas installé en travers de la route ! – et avons dû remonter 16 km… pour nous retrouver noyés dans le flot des voitures. Deux heures plus tard, minuit largement passé, il ne nous restait plus qu’à parcourir encore 180 km de routes sinueuses en restant bien éveillés jusqu’à Mendoza, atteint… sous la pluie… à 3h45. Nous garderons longtemps en mémoire le cerveau embrumé de ce noir tunnel glacé qui n’en finit pas, balayé par le pinceau des phares, avec quelques furtives visions, dans les quelques lignes droites, de l’immense voûte étoilée où se découpe l’ombre noire de parois, le froid qui s’infiltre, puis l’humidité qui revient en redescendant, les crampes et picotements des mains, l’attention qu’il faut recadrer sans cesse sur la route qui n’en finit pas de tourner, les haltes forcées pour la douane, faire le plein d’essence et de café, les phares de Véronique dans les rétroviseurs, le trafic sur ce grand passage international… et enfin de la grosse averse qui nous rince en croisant des semis remorques vers 3h00 du matin… Et le lendemain, nous avions encore 650 km à parcourir pour atteindre nos neveux Laxague de Cordoba, où nous arriverons sains et saufs avec de tout petits yeux bien fatigués ! Heureusement, leur accueil était à la hauteur de notre fatigue : nous vous raconterons cela la prochaine fois !

Je vous rappelle qu’en ouvrant l’album Picasa joint en cliquant sur la légende de la photo en tête d’article, c’est parfois Google+ qui s’ouvre au lieu de Picasa Web, lequel ne permet notamment pas de lire les abondantes légendes dont j’illustre chaque photo. Il faut alors, dès l’ouverture, repérer en haut et au milieu de l’écran un bandeau jaune où il est écrit « Cliquer ICI pour revenir à Picasa ». (Attention, le message ne s’affiche pas très longtemps ; si vous ne le voyez pas, revenir en arrière d’une étape !). Il faut alors cliquer sur « ICI », et, miracle, tout l’album s’affiche sous forme de vignettes. Cliquer ensuite sur ‘Diaporama’ ; le Diaporama se lance alors avec la première photo…. puis faire comme le diaporama le propose : appuyer sur la touche F11 du clavier pour passer en ‘plein écran’… sur la touche Pause, et faire défiler soi-même ses photos à son rythme avec les flèches de direction du clavier.

Bonne lecture !

14 – Rutas 40 et Australe : la Patagonie des Glaciers

14 - Les Rutas 40 et Australe : la Patagonie des Glaciers

14 – Les Rutas 40 et Australe : la Patagonie des Glaciers

 

 

Deux chapitres du blog mis à jour successivement, vous allez avoir des nouvelles des Perrin, et de la lecture pour les journées d’hiver qui reviennent ! Commencez par le chapitre « 13 – La Patagonie des Lacs à Magellan », qui raconte notre lente et longue descente, du 29 janvier au 21 février, jusqu’au détroit de Magellan : quelle aventure ! Nos temps libres y ont été consacrés à rédiger le chapitre 12… et cela fait donc déjà un mois que nous ne vous avions pas donné de nouvelles !

Le présent chapitre 14 raconte comment un groupe d’amis Parisiens nous a rejoints au Chili au pied des ‘Torrès del Paine’, et nous a accompagnés vers le Nord pendant plus de 2.000 km tout au long de célèbres routes touristiques passant par des sites naturels exceptionnels. J’espère qu’il vous donnera envie de venir ici les admirer en vrai ; en attendant, en voici un acompte !

Depuis au moins trois ans que nous évoquons autour de nous que notre cinquième voyage sera consacré à l’Amérique du Sud, et notamment à l’Argentine où vivent de nombreux cousins de Véronique, nous avons en effet fait la connaissance des frères Patrice et Thierry Ossent, qui, tous deux motards, y ont été élèves au lycée Mermoz de Buenos Aires il y a quelques décennies, et qui reprenaient contact avec leurs anciens copains à l’occasion de l’anniversaire du lycée. Il était évident que mon compagnon de voyage ‘autour du Mt Ararat’ de l’année dernière, Bernard Champanhet, ferait partie de l’expédition ; s’y sont greffés de vieux amis du groupe, les Jozan. L’idée était que d’innombrables merveilles de la nature du Sud des Andes ne sont accessibles que par de mauvaises pistes, et qu’elles seraient plus aisément praticables par nos motos allégées de leurs bagages dans les voitures d’accompagnement ; et si on pouvait ‘tourner’ de guidons en volants.

Nous avons donc appris, après notre arrivée sur le continent américain, que nous avions rendez-vous avec eux sept le 21 février 2013, dans l’après-midi, à l’entrée du parc des Torrès del Paine, au Chili… Un vrai cauchemar de randonneur ! Non seulement un lieu précis, mais quasiment une heure précise au milieu de nulle part, à des centaines de kilomètres de tout centre urbain. Nous qui voyageons toujours sans savoir où nous coucherons le surlendemain ! Comment être sûr d’être au rendez-vous ? Et s’il fait trop mauvais temps ? Et si une des motos crève ou bien est en panne ? Et si nous n’avons plus envie ? Nous ne sommes pas des chauffeurs de Shuttle/Navettes aéroport/chutes du Niagara ! Pour plus de sûreté, nous avions prévu quatre jours de marge… qu’une tempête nous a complètement mangés à Punta Arenas ! En outre, nous avons dû nous préparer psychologiquement au choc des rythmes : quant à nous, trois mois que nous étions partis sur les routes, et trois autres mois avant de rentrer en France… quant à eux, partis la veille de l’hiver parisien, des réservations d’avion pour la reprise de leurs activités en France les attendaient douze jours plus tard… et 2.200 km plus au nord. Le choc fut finalement largement aussi brutal que redouté, mais la joie des retrouvailles et des spectacles de la nature admirés en commun fut à la même hauteur.

Parce que les photos que vous allez voir dans l’album ci-joint sont celles de sites exceptionnels. Il y a d’abord la montagne ; la grande montagne ; celle que les meilleurs ‘Alpinistes’ (‘Andinistes’) du monde entier viennent tutoyer ; il y a des parois et des cimes ici dont l’histoire de la conquête n’a rien à envier à celles des faces Nord de l’Eiger ou des Grandes Jorasses : les ‘Tours’ du Payne, le Cerro Torre, le Fitz Roy notamment. Il y a ensuite cette merveille unique de la nature qu’est le gigantesque glacier ‘Perito Moreno’ se jetant – au rythme de 2 mètres par jour en moyenne – dans le lac Argentino sur un front de 5 kilomètres. Il y a enfin deux routes mythiques, que les motards du monde entier rêvent de parcourir au moins une fois dans leur vie : la ‘Ruta 40’, qui parcourt toute l’Argentine depuis la frontière bolivienne jusqu’au détroit de Magellan en longeant au plus près la cordillère des Andes ; elle suit plus au moins le chemin que le grand’père Jacques de Larminat (cf. Blog 12) a suivi en 1908/1909 à la recherche d’une estancia à acheter ; en ce début de 2013, il en restait quelques centaines de kilomètres en chaussée ‘consolidée’, c’est-à-dire en ‘ripio’. Et la ‘Carretera Australe’, dont le Général Pinochet lança la construction en 1986 : 1.250 km pour rejoindre par la route le port de Puerto Montt (41° S) à Villa O’Higgins (45° S), « le long » d’une côte de l’océan Pacifique qui ne cesse d’être découpée en profonds fjords et hautes montagnes couronnées de glaciers ; superbe, donc, mais d’autant plus rude qu’il y pleut toute l’année et que le ‘consolidé’ y domine largement…

Bonne lecture, donc, et n’oubliez pas de nous mettre des petits messages ; vous n’imaginez pas combien ils font plaisir !

Je vous rappelle que, pour les albums, il faut cliquer sur la légende de la photo en tête de l’article, et que si c’est Google+ qui s’ouvre au lieu de Picasa, il faut « Cliquer ICI pour revenir à Picasa » ! Mais vous connaissez maintenant la musique !

13 – La Patagonie des Lacs à Magellan

13 - La Patagonie des Lacs à Magellan

13 – La Patagonie des Lacs à Magellan

 

La Patagonie est loin de constituer un tout homogène ; elle est diverse tant par ses climats et sa végétation que par ses paysages : on y trouve le désert, la steppe, les forêts ‘alpines’ ou antarctiques, les rios, les lacs, les montagnes et les glaciers, les ‘alpages’, les champs et les fjords… Il y une Patagonie sèche et une Patagonie humide, plus ou moins glacées en hiver ou brûlante en été… L’unité de toutes ces régions, à part la difficulté d’y vivre, et donc sa densité extrêmement faible de population ? C’est le vent ! A la différence de ce qui se passe dans l’hémisphère nord, ici, dans l’hémisphère sud, soufflent toute l’année, mais surtout pendant l’été austral, dès le 40ème parallèle (soit la latitude de Madrid ou du sud de la Tasmanie) ceux que les marins nomment « les 40ème rugissants », qui se transforment en « 50ème hurlants » 10° plus au sud. Le Cerro de Los Pinos est situé sur le 40ème parallèle, et Punta Arenas, le point le plus austral de notre périple, sur le 53ème , alors qu’Ushuaia est sur le 56ème, latitude de… Copenhague dans l’hémisphère nord.

Dans les images ci-jointes, vous nous verrez descendre tous ces parallèles et traverser toutes ces Patagonies, traversant les déserts, longeant la côte Atlantique, rencontrant le vent, puis le froid en descendant toujours plus vers le Sud, jusqu’à la ‘Ruta del Fin del Mundo’ pour atteindre Punta Arenas, sur les bords du détroit de Magellan. Certains parlent de monotonie quand on descend par la route – goudronnée ! – n°3, mais nous ne nous y sommes jamais ennuyés, brutalement réveillés au guidon de nos motos par les violentes claques de vent reçues à chaque croisement de camions ou de bus ! Ma tête est pleine de calculs pour savoir s’il y aura du carburant à la prochaine station marquée sur la carte, mais beaucoup ont disparu, manifestement depuis des années… ll est tout à fait impossible de s’arrêter du tout, ne serait-ce que pour faire une courte pause, en-dehors d’une zone aménagée, car les bas côtés ne permettent pas de poser la moto en sécurité, menacées par le vent et le trafic, et il n’y a guère d’autres zones ‘aménagées’ que dans les stations services. Le soir, après l’étape, nous sommes tous deux frigorifiés et courbatus des bras et du dos d’avoir lutté pendant des heures contre le vent latéral… Les guanacos (sortes de lama) et les nandous (petites autruches locales) partagent les maigres pâturages de moutons et chevaux en liberté ; des estancias se devinent, de loin en loin, cachées dans un bosquet de peupliers, sous des ciels et lumières photogéniques, surtout lorsque des nuages cachent le soleil ; des jeux d’ombres et de lumières parcourent alors la steppe à grande vitesse, faisant et défaisant les mirages, et notre moral change au même rythme : le monde devient hivernal dès que le soleil se cache plus de quelques minutes, puis estival dès que nos blousons se réchauffent sous le soleil !

Les photos ci-jointes racontent notre chute sur le ‘ripio’ en revenant d’une forêt d’arbres pétrifiés dans un désert coloré, les manchots de Magellan sur les plages de l’Atlantique, pourquoi nous avons renoncé à atteindre Ushuaia et la magie des glaciers suspendus des montagnes entourant Puerto Natales, situé sur la côte de l’océan Pacifique. Nous avons pris notre temps pour descendre, nous arrêtant souvent deux nuits de suite au même endroit pour nous imprégner de cette Patagonie sauvage, de ces habitants intrépides ‑ qu’ils soient descendants d’Indiens ou de colons Européens ‑ vivant dans des conditions d’isolement que nous autres Parisiens avons du mal à imaginer ; leurs maisons sont barricadées de bardages métalliques. Le dépaysement vient aussi de l’australité de la région : il faut s’habituer à ce qu’ici, ‘la lune ne ment pas’, c’est-à-dire que, au contraire de ‘notre’ lune en France, quand elle dessine un ‘C’, c’est bien qu’elle Croît, et un ‘D’, qu’elle Décroît ! Et à ce que, lorsque c’est le vent du Sud qui souffle, cela annonce le froid et le beau temps, à la différence du vent du Nord, qui apporte l’humidité de l’Equateur. Les chambres d’hôtel exposées au Nord ont le soleil toute la journée, et les glaciers, bien sûr, sont sur les faces Sud des montagnes, les plus difficiles à gravir. L’étoile Polaire a disparu depuis longtemps, et les ciels nocturnes, étincelants, sont dominés par la Croix du Sud et les nuages ‘de Magellan’. L’humidité revient dans le Sud dès que les Andes ont perdu suffisamment d’altitude pour laisser passer l’humidité de l’océan Pacifique, mais le vent gagne alors en puissance : toute la végétation y est tordue par le vent dominant du nord ouest. A Punta Arenas, où nous sommes restés bloqués 4 jours par un vent hurlant à plus de 120 km/h, nous avons pu visiter les nombreux musées qui racontent l’histoire de cette terre d’exception… vous en retrouverez quelques éléments dans les photos ci-jointes.

Bonne lecture !

 

Je vous rappelle aussi que parfois, en ouvrant l’album Picasa, c’est en fait Google+ qui s’ouvre, qui ne permet notamment pas de lire les légendes dont j’orne chaque photo. Il faut alors, dès l’ouverture, repérer en haut et au milieu de l’écran un bandeau jaune où il est écrit « Cliquer ICI pour revenir à Picasa ». (Attention, le message ne s’affiche pas très longtemps ; si vous ne le voyez pas, revenir en arrière d’une étape !). Il faut alors cliquer sur « ICI », et, miracle, tout l’album s’affiche sous forme de vignettes. Cliquer ensuite sur ‘Diaporama’ ; le Diaporama se lance alors avec la première photo…. puis faire comme le diaporama le propose : appuyer sur la touche F11 du clavier pour passer en ‘plein écran’… sur la touche Pause, et faire défiler soi-même ses photos à son rythme avec les flèches de direction du clavier.